Danse : Courtney May Robertson ✚ Oona Doherty
Jeudi 6 avril, 20h
et vendredi 7 avril, 19h30
au CCN¹
— 15 € / 10 € pour les moins de 30 ans
Tarif pour les deux spectacles de danse Courtney May Robertson et Oona Doherty
⬤ Éligible Pass Culture et cagnotte YEP’S
the pleasure of stepping off a horse when it’s moving at full speed
Courtney May Robertson
Durée 15min
Comme point de départ de ce court solo, Courtney May Robertson utilise une métaphore de la maîtrise de soi : un cavalier qui dompte un cheval sauvage. Elle s’intéresse à la lutte entre l’acceptation de ses désirs et réguler un comportement en fonction des pressions sociales. Des projections visuelles enferment Courtney dans un octogone de 4 mètres de diamètre. En combinant la poésie, la danse et le chant, elle voyage à travers des paysages de désirs, de souvenirs et de conflits personnels. L’espace agit comme une capsule temporelle ; des vidéos intimes sont mélangées à des extraits vidéos de Youtube, documentaires et vieux films. the pleasure of stepping off a horse when it’s moving at full speed (le plaisir de descendre d’un cheval lorsqu’il avance à toute vitesse) est une tentative d’embrasser les contradictions, parfois désordonnées, qui composent les multiples facettes d’un être humain.
Chorégraphie, performance et visuels Courtney May Robertson ∎ Dramaturgie Merel Heering ∎ Regards extérieurs Kristin de Groot et Yoko Ono Haveman ∎ Support technique Edwin van Steenbergen ∎ Musique AAR - A01 & A02, Empty Set - Order, Cities Aviv - Title Piece, Death Grips – Disappointed ∎ Production Dansateliers Rotterdam ∎ Support financier Municipality of Rotterdam & Kickstart Cultuurfond ∎ Remerciements à Bas de Geus, Adam Peterson & Nik Rajšek
Hope Hunt and the Ascension into Lazarus
Oona Doherty
Durée 40min
La représentation du jeudi 6 avril est suivie d’un DJ set avec Maxime Jerry Fraisse
Hope Hunt and the Ascension into Lazarus évolue entre les frontières du théâtre physique, de la proclamation sociale et de la danse. La chorégraphe irlandaise Oona Doherty dresse un portrait sensible des jeunes hommes des quartiers défavorisés de Belfast et d’ailleurs, loin du glamour des zones piétonnes. Créée en 2016 et initialement performée par la chorégraphe elle-même, la pièce est ici incarnée par Sati Veyrunes qui danse seule les énergies contraires de ceux qui vivent sans privilèges, tiraillés entre colère, provocations et espoir. Par le biais de la parole, du mouvement et des sons, nous sommes ballotté•es à travers les représentations existantes de la masculinité, de la morale et de la nostalgie.